La série où Julie jouait le rôle d’une jeune fille du
midwest lui devait en grande partie son succès, à sa fraîcheur, sa candeur, sa
virginité. Jusqu’à ce que la guerre du Viet Nam et la libération de la femme l’aient
précipitée dans le cimetière des ringardes. Plus le blonde Julie, place aux
blacks sexuées, fini la country, let’s disco.
Mais Julie était restée dans l’inconscient des américains,
la courbure de son visage était une incarnation. Lorsqu’elle est morte, elle n’avait
pratiquement jamais rejoué, mais son petit appartement de Los Angeles était
rempli de poupées, des poupées à son effigie.
En hommage à Donna
Douglas, disparue le 1er janvier 2015
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